D’Où Vient C’vacarme – Song and Lyrics by 3ème Oeil

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Discover the poetic beauty in ‘D’Où Vient C’vacarme’ by 3ème Oeil. This lyric breakdown takes you on a journey through the artist’s thoughts, emotions, and the story they aim to tell. From clever metaphors to evocative imagery, we delve into the nuances that make this song a lyrical masterpiece. Whether you’re a fan of 3ème Oeil or a lover of well-crafted words, our detailed analysis will give you a deeper understanding and appreciation of this song.

Refrain
Ou la la, c’est l’retour du Troize
Réveille tous les enfoirés et toutes les garces
Ou Mama, d’où vient c’vacarme, Marseille 13003
Ou la la, c’est l’retour du Troize
Réveille tous les enfoirés et toutes les garces
Ou Mama, d’où vient c’vacarme,
Oh my God, oh my God !

Couplet 1 : Sat
Je m’fous d’savoir qui, qu’le train t’soit pas passé d’ssus
Bébé, fais honneur au Troize et mets tes plus beaux d’ssous
Oublie tes galères avec ton mec, tes soucis d’sous
Après le Brooklyn, c’est le Marseille Zoo
Bad boy, laisse de côté tes phases de ju jitsu, la haine qui t’anime,
Si l’sang doit couler, qu’ce soit juste dans les arênes à Nîmes
Mais d’où vient c’bordel, 13003
Si Sat te ken, bam, bam, vas sonner John Pollen
Y a plus d’alcool, cours vite chez l’épicier
Dis y qu’il mette ça sur la note à l’Artificier
Amène ton fessier, pose ta coupe, lève tes mains, bouge tes reins
J’fête mes dix ans de 400 coups sur l’terrain
HS, le cerveau dans l’espace comme Diggy Don
J’viens, j’fume le HF et fume la Diggy bomb
All night long, représente pour le 3ème Œil et FF
Ma family fonk

Refrain
Ou la la, c’est l’retour du Troize
Réveille tous les enfoirés et toutes les garces
Ou Mama, d’où vient c’vacarme, Marseille 13003
Ou la la, c’est l’retour du Troize
Réveille tous les enfoirés et toutes les garces
Ou Mama, d’où vient c’vacarme,
Oh my God, oh my God !

Couplet 2 : Boss One
On sort d’nos halls pour d’entrée être persuasifs
Les tiens et les miens, les nerfs à vif, sont sous le charme,
Le kif :
Que ces miss se plaisent dans une ambiance cadencée
Que les excités oublient d’être fâchés, cloués comme des piquets
Là c’est oindéké
L’homme au mic s’nomme Boss One
Epaulé d’Pops et Sat, alcoolique acolyte
Pour servir cette masse en quête de sensations fortes
Son de contrebande ou légalisé comme le hah
Au fait, si tu te demandes d’où ça sort, du 3ème arrondissement
De sortie pour donner c’qu’il faut et comment
C’est sur nos sons, nos rimes, nos tripes qu’on s’ra jugés
Dès qu’on s’échappe de scène les sceptiques doivent adjuger
Dans ce cercle vicieux on s’veut peu prétentieux
Messieurs, le 143 régale les envieux
Un son d’Ralph afin qu’Soon et Djel fassent swinguer nos semblables
Sans blagues !

Refrain
Ou la la, c’est l’retour du Troize
Réveille tous les enfoirés et toutes les garces
Ou Mama, d’où vient c’vacarme, Marseille 13003
Ou la la, c’est l’retour du Troize
Réveille tous les enfoirés et toutes les garces
Ou Mama, d’où vient c’vacarme,
Oh my God, oh my God !

Couplet 3: Jo Popo
Quelle joie, quel bonheur de retrouver tous nos excités rien qu’à l’idée de vous retrouver j’en suis tout excité
Trois ans d’absence on en ressent une grosse nécessité
Merci pour l’accueil du 1er au 100000 qui ont participé
Grâce à vous cette aventure est devenue formidable,
Le Troize compte parmi les groupes incontournables, vu qu’il y a demande
Faut qu’on offre Sat, Jo Pops, Boss One c’est la race qu’on te décoffre,
Et si tu es d’accord avec c’qu’on dit : ya foye !
De quoi tous vous remettre d’accord, le Troize est de retour,
Et j’te jure c’est trois fois plus fort,
John Pollen au micro toujours prêt à donner le sport
Que les apaches lâchent les lames et les flingues
Dirigez-vous plutôt vers le comptoir, j’crois qu’ce soir c’est la bringue!
Vieilles mentalités s’abstenir d’écouter
Et ose nous dire que ce morceau il n’est pas al dente!

Refrain
Ou la la, c’est l’retour du Troize
Réveille tous les enfoirés et toutes les garces
Ou Mama, d’où vient c’vacarme, Marseille 13003
Ou la la, c’est l’retour du Troize
Réveille tous les enfoirés et toutes les garces
Ou Mama, d’où vient c’vacarme,
Oh my God, oh my God !