Discover the poetic beauty in ‘Jamais su’ by 47ter. This lyric breakdown takes you on a journey through the artist’s thoughts, emotions, and the story they aim to tell. From clever metaphors to evocative imagery, we delve into the nuances that make this song a lyrical masterpiece. Whether you’re a fan of 47ter or a lover of well-crafted words, our detailed analysis will give you a deeper understanding and appreciation of this song.
Faudrait qu’on arrête de sortir
Mais on a jamais su le faire
Qu’un jour on s’mette à grandir
Mais on a jamais su le faire
Faudrait faire les hypocrites quand on rencontre des gens de merde
Mais on a jamais su le faire
On a jamais su le faire, nan
C’est vrai qu’on a jamais su faire ce qu’il fallait
C’est vrai aussi qu’on arrive à faire des choses en une année
C’était la règle du départ, on fait ce qu’on peut avec c’qu’on a
Mais on avait rien, pas d’histoire, pas de vécu, pas de maison d’arrêt
Pas de sérieux, pas de prise en main, comment veux-tu qu’on arrive à changer
On est trois connards en un, comment vois-tu l’avenir sans danger
Faudrait déjà qu’on arrête de s’taper quand on arrive dans les chambres d’hôtels
Faudrait déjà qu’on arrête de s’barrer des soirées avec nos ‘teilles
Hey, hey, tu sais qu’on ne changera pas (pas)
Et qu’on va jamais quitter Bailly (Bailly)
Tu sais qu’on a commencé comme ça et qu’on finira comme ça
Y a pas moyen qu’on arrête de sortir
Mais on a jamais su le faire
Qu’un jour on s’mette à grandir
Mais on a jamais su le faire
Faudrait faire les hypocrites quand on rencontre des gens de merde
Mais on a jamais su le faire
On a jamais su le faire, nan
Mais on a jamais su le faire, nan
Et j’veux pas grandir, j’veux pas mentir
C’est vrai qu’on dirait des gosses
J’vais devoir m’enfuir si un jour il faut qu’j’rebosse
Plus tard ce sera plus pareil
Faudra peut-être devenir mature
Pour l’instant la vie est belle
J’la vois plus que comme un adulte
Même si il faudrait qu’on arrête de s’embrouiller pour des clopes et des bières (hun, hun)
On est plus que des potes, on se met sur la gueule, on est comme des frères (hun, hun)
Faudrait qu’on parle un peu aux autres
Mais on a jamais su le faire
On préfère partir sur la côte comme des connards
Hey, hey, tu sais qu’on ne changera pas (pas)
Et qu’on va jamais quitter Bailly (Bailly)
Tu sais qu’on a commencé comme ça et qu’on finira comme ça
Y a pas moyen qu’on arrête de sortir
Mais on a jamais su le faire
Qu’un jour on s’mette à grandir
Mais on a jamais su le faire
Faudrait faire les hypocrites quand on rencontre des gens de merde
Mais on a jamais su le faire, on a jamais su le faire, nan
Mais on a jamais su le faire, nan
Mais on a jamais su le faire, nan
Mais on a jamais su le faire, nan