L ALCHIMISTE – Song and Lyrics by Abd Al Malik

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Discover the poetic beauty in ‘L ALCHIMISTE’ by Abd Al Malik. This lyric breakdown takes you on a journey through the artist’s thoughts, emotions, and the story they aim to tell. From clever metaphors to evocative imagery, we delve into the nuances that make this song a lyrical masterpiece. Whether you’re a fan of Abd Al Malik or a lover of well-crafted words, our detailed analysis will give you a deeper understanding and appreciation of this song.

Je n’étais rien, ou bien quelqu echose qui s’en rapproche,
J’étais vain et c’est bien c’que contenait mes poches.
J’avais la haine, un mélange de peur, d’ignorance et de gêne.
Je pleuvais de peine, de l’inconsistance de ne pas être moi-même.
J’étais mort et tu m’as rammené à la vie:
Je disais “j’ai, ou je n’ai pas”; tu m’a appris à dire “je suis”.
Tu m’as dit: “le noir, l’arabe, le blanc ou le juif sont à l’homme ce que les fleurs sont à l’eau”

Oh, toi que j’aime et toi, que j’aime.
J’ai traversé tant d’avenues, tellement attendu ta venue
Qu’à ta vue, je ne savais plus si c’était toi, si c’était moi
Si c’était toi, Eh, toi que j’aime je crée ton nom
Dans le désert des villes que j’traversais car
Sûr de ton existence, je savais que tu m’entendrais
Et, toi, que j’aime, Oh, toi… que j’aime

Je n’étais rien, ou bien quelquechose qui s’en rapproche,
J’étais vain et c’est bien c’que contenait mes poches.
J’avais la haine, un mélange de peur, d’ignorance et de gêne.
Je pleuvais de peine, de l’inconsistance de ne pas être moi-même.
J’étais mort et tu m’as rammené à la vie:
Je disais “j’ai, ou je n’ai pas”; tu m’a appris à dire “je suis”.
Tu m’as dit: “le noir, l’arabe, le blanc ou le juif sont à l’homme ce que les fleurs sont à l’eau”

Oh, toi que j’aime et toi, que j’aime.
Ni la rue, ni les drames, ne m’ont voilé à ta vue
Même au plus bas, même quand j’disais que tout était foutu!
Je t’aimais comme si je te voyait,
Car si je ne te voyait pas, je savais que j’étais vu par toi.
Et, toi que j’aime. Tu es un lion et ton coeur est un soleil
L’ultime secours de ceux perdus dans leur sommeil.
Et, toi, que j’aime, Oh, toi… que j’aime

Je n’étais rien, ou bien quelque chose qui s’en rapproche,
J’étais vain et c’est bien c’que contenait mes poches.
J’avais la haine, un mélange de peur, d’ignorance et de gêne.
Je pleuvais de peine, de l’inconsistance de ne pas être moi-même.
Tu es, tu es l’alchimiste de mon coeur
Et, toi, que j’aime, Oh, toi… que j’aime,
Eh…. oh, toi que j’aime…