La Familia – Song and Lyrics by 113

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Discover the poetic beauty in ‘La Familia’ by 113. This lyric breakdown takes you on a journey through the artist’s thoughts, emotions, and the story they aim to tell. From clever metaphors to evocative imagery, we delve into the nuances that make this song a lyrical masterpiece. Whether you’re a fan of 113 or a lover of well-crafted words, our detailed analysis will give you a deeper understanding and appreciation of this song.

C’est pour la famille.
Une pensée pour ceux qu’ont perdu leurs parents.
Maman n’est plus toute jeune aussi, c’est la seule femme que j’aime.
Comme tous les parents du monde, ils m’ont vu avocat ou médecin
Toujours un enfant à leurs yeux, trop de fois je suis absent
Je crève l’abcès de l’amour,
Comme ceux qui ont mal tourné, parce qu’on les as détournés.
Les conseils de la famille,
C’est l’exemple de mes parents que je retiens pour que demain soit OK.
J’ai su me prendre en main pour chaque journée.
C’est comme un contrat qu’on a signé,
J’ai jamais insulté mon père ni ma mère, toujours le respect.
En tournée, je me sens loin de vous,
Mais sachez que mon cœur est toujours là près de vous
Il y a votre sang, il y a votre chair, mon ciment
Il y a l’Afrique, vous êtes ma terre, mon continent.

Trop de fois j’ai troublé vos nuits de sommeil,
Mais je vide mon mal, de vous à moi
Trop de fois, on ignore ce qu’on détient,
C’est le cœur qui parle, c’est le cœur qui parle.

Trop de fois j’ai troublé vos nuits de sommeil,
Mais je vide mon mal, de vous à moi
Trop de fois, on ignore ce qu’on détient,
C’est le cœur qui parle, c’est le cœur qui parle.

Y a rien de plus précieux, mon petit frère, ma petite sœur, ma mère, je garde sous les yeux.
Je me sens coupable, coupé du monde, dès que je te vois souffrir.
Je m’excuse en chanson, maman, je tenais à te dire, la nuit, le plus souvent
J’y pense à chaque fois, tous ces moments où nous étions en froid, rappelle toi.
J’étais peut-être trop naïf, trop jeune pour comprendre,
Alors qu’il suffisait d’en parler pour s’en-tendre.
C’est douloureux mais la famille y a rien de plus précieux.
Mon petit frère, ma petite sœur, je garde sous les yeux.
Ils sont si jeunes, des fois je chiale comme ma mélodie.
Mon cœur a faibli comme frappé par une maladie
J’ai des lésions internes, je suis un homme, ça devrait aller.
Tous ces mots montrent à quel point nous sommes liés.
Près du béton, du sol, où je suis l’aîné, je suis pas le seul
J’en connais le salaire, le soir quand je rentre seul.
Y aura toujours des cris et des larmes,
Succéderont les sourires qui réchaufferont nos armes
Pour refaire place aux fou rires.

Trop de fois j’ai troublé vos nuits de sommeil,
Mais je vide mon mal, de vous à moi
Trop de fois, on ignore ce qu’on détient,
C’est le cœur qui parle, c’est le cœur qui parle.

Trop de fois j’ai troublé vos nuits de sommeil,
Mais je vide mon mal, de vous à moi
Trop de fois, on ignore ce qu’on détient,
C’est le cœur qui parle, c’est le cœur qui parle.

Quelques lignes en guise d’excuses,
Prends ta mère dans tes bras, gros, fais lui une grosse bise.
A la femme la plus courageuse du monde
Tout comme toi j’aimerais avoir du cœur et être aussi croyant que mon père
On n’a pas eu la même jeunesse, Dieu sait que depuis que je sais lire et écrire
J’ai pas connu la guerre mais presque, j’ai connu Vitry.
Quelques lignes en guise d’excuses, pour la paix de l’esprit, je paye le prix
C’est mon père qui me l’a appris, avec un grand frère comme soutient
Des sœurs qui n’ont jamais déshonorer la famille
Et à qui je tiens des deux êtres que j’ai pas toujours écouté
Certes de moi-même je suis dégoûté, parfois dérouté
En espérant que Dieu et ma famille vous me pardonnez.
Inch’Allah, je viendrai à bout de vos soucis.
Après tout ce que vous avez subi, je vous souhaite une longue vie
Je tiens à vous l’avoir dit,
Avant que vous écoutiez ceci de la part d’un homme, votre fils