Discover the poetic beauty in ‘Sale’ by 13 Block. This lyric breakdown takes you on a journey through the artist’s thoughts, emotions, and the story they aim to tell. From clever metaphors to evocative imagery, we delve into the nuances that make this song a lyrical masterpiece. Whether you’re a fan of 13 Block or a lover of well-crafted words, our detailed analysis will give you a deeper understanding and appreciation of this song.
Sale
13 BLO gang
Ils s’demanderaient c’qu’on deviendrait dans quatre ans
Venus pour faire du sale, on fera la même en partant
Ah, donc j’ferai du sale, donc j’ferai du sale
Hey, donc j’ferai du sale, donc j’ferai du sale
Hey, donc j’ferai du sale, donc j’ferai du sale
Hey, donc j’ferai du sale, donc j’ferai du sale
Un appel anonyme, maintenant les youvs bossent avec flics (Zefor)
Savoir comment on fonctionne, remets ton fioss, trouve la notice
Fous l’zen dans nos ffaires-a, tu t’sentiras comme Tony
Tu gères la sœur d’un pote, j’accepte pas tes manies
Arrête de nous bluffer, on sait qu’t’es qu’une intermédiaire
J’connais les gens d’chez toi, tu n’as qu’les études comme filière
Cher-mar avec nous, tu n’seras plus l’même boloss qu’avant
Mets le son dans l’Gennaro, remercie nous juste en bossant c’est tout
Tu tends ton pied, avec nous elle passe entre les jambes
Graine de bandit, attends les arbres en mettant que les graines
On provoque une épine en bas du pied de l’État
Je consulte le calepin, je mets le trois-quart
Y aura toujours dans la tour, peuf, à la Yaya Touré
Implication recto-verso, sur le bandage CDG
Le sac est lourd mais le shit est mou
Sur le bandage CDG, le sac est lourd mais le shit est mou
J’rêve du mauve depuis qu’j’ai pas d’temps
Créneau noir, trace ta route si t’es pas dedans
Ils s’demanderaient c’qu’on deviendrait dans quatre ans
Venus pour faire du sale, on fera la même en partant
Ah, donc j’ferai du sale, donc j’ferai du sale
Hey, donc j’ferai du sale, donc j’ferai du sale
Hey, donc j’ferai du sale, donc j’ferai du sale
Hey, donc j’ferai du sale, donc j’ferai du sale
Regarde dans les yeux quand tu traites ma mère
Parle pas dans ta barbe, khey c’est pas pareil
Ta gorge nourrira les vers de terre
Une fois que l’fer pourrira au fond d’ta tête
Ça va faire combien d’fois qu’j’te répète
Qu’il faut pas parler comme ça quand tu t’adresses à ous-n?
Ça va faire combien d’fois qu’j’me réveille
Et qu’j’me dis faut qu’j’m’en sorte avant qu’j’embrasse un jnoun?
On compte, recompte, on essore quand on tombe
Des Air Max aux tongs, à la fin du conte
Combien de plomb si tu fais l’con?
Vivre pour les ronds, mourir pour les ronds
Toujours voulu plus c’est ça l’idée, j’y repensais en rabattant
Cracher la fumée du nouveau produit sur les passants
Putain d’merde les poches saignent, besoin d’billets comme pansements
Aujourd’hui tout est jdid, Al-ḥamdu lil-lāh franchement
Élevé par une lionne, qu’est-ce tu veux qu’j’fasse avec une sale chienne?
Ils en font des tonnes mais tournent sur des demi-plaquettes
Crois pas qu’on mythonne, on toque à ta porte si tu dois des dettes
Tu reconnais pas les têtes? On oubliera qui t’étais, Sidi Key
Ah, donc j’ferai du sale, donc j’ferai du sale
Hey, donc j’ferai du sale, donc j’ferai du sale
Hey, donc j’ferai du sale, donc j’ferai du sale
Hey, donc j’ferai du sale, donc j’ferai du sale
Binks, binks, binks